Féminisme contre la censure - Ag3m et Meor Réfléchissons ensemble aux arguments sur les enjeux des articles de loi procensure, concernant l’espace public et les Internets en particulier, d’un point de vue féministe. L’idée est nouvelle pour moi, j’avoue ne jamais m’être posé la question « pourquoi bannir la censure ? » avec une réponse autre que la sempiternelle « pour la liberté d’expression ». Cela n’en reste pas moins vrai, mais l’idée est de dire qu’illes luttent contre la censure pour ne pas mettre de côté celleux qui ne font pas partie de la grande boîte « La norme ».

Triste journée aujourd’hui. Partagée entre deux envies : la première, de rendre hommage et au passage, de pousser un énorme coup de gueule ; la deuxième, de se taire pour ne pas ajouter à cette ambiance malsaine ambiante, où les gens s’abreuvent pour apaiser leur voyeurisme, où tous les extremistes, les bien-pensants, les abrutis sortent tous leurs préjugés, leurs croyances absurdes qui vont tout simplement à l’encontre de la liberté de la presse et de l’expression défendues par des gens courageux qui ont perdu leur vie.

Après avoir assisté, lors de l’Ubuntu Party, à la conférence de Véronique Bonnet et Luc Sievet, avec pour thème l’année 1984 — c’est en premier lieu un rapport au roman d’anticipation d’Orwell, mais c’est également l’année de la mort de Foucault célèbre pour son essai « Surveiller et punir », celle de naissance de Snowden mais aussi du projet GNU par Stallman —, j’avais envie d’y répondre plus longuement par écrit.

Encoder ses images en base64 est une technique d’optimisation web qui permet de convertir une image en une chaîne de caractères directement exploitable par le navigateur, le but principal étant d’économiser une requête HTTP vers la ressource (puisque celle-ci est directement embarquée dans le HTML ou le CSS). Revers de la médaille, cette technique génère une chaîne plus lourde que le fichier original. Il faut donc l’utiliser avec parcimonie sur de petites images et jauger le gain en terme de performances.

Si vous êtes du genre à mettre toutes les armes de votre côté en ce qui concerne la sécurité d’un serveur Linux mais que la technique du Port Knocking vous est étrangère, alors ceci devrait vous intéresser. Et puis si la sécurité vous importe peu, tout n’est pas perdu, vous devriez pouvoir trouver une place de consultant chez Sony. Troll mis à part, le port knocking est une technique permettant de modifier dynamiquement les règles d’un pare-feu grâce au lancement préalable d’une suite de connexions sur des ports distincts (TCP et UDP) dans le bon ordre.